lundi, septembre 17, 2007

le désir

Chaque effleurement de sa main, de ses lèvres, de son sexe, me fait jouir, chacun de mes pores est comme un cerveau en éveil dans l'attente de l'imperceptible accident du sommeil de l'autre.
Chaque jour je crois que c'est fini, mais à son appel mon vagin se spasme sans que je ne bouge d'un doigt, il me faut sortir et marcher pour dissiper ce lanscinant désir.
J'ai redit mon âge: Nous ne nous verrons jamais au dehors afin que tu ne sois pas gêné parce que je suis vieille, et que je n'ai pas honte parce que tu bois! Après 24h de réflexion sa réponse à ce beau discours a été de m'inviter à déjeuner au dehors, dans le quartier.
Eternellement à recommencer l'acte d'amour, où se situe le ciment des amants?

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