vendredi, juin 25, 2010

(85)*Je vous abats à terre, et ouvre votre bouche comme on écarte la gueule d’un chien ou d’un fauve, pour lui fracasser la mâchoire à force de l’écarter.
La jeune femme veut vous sauver. Je l’attrape par les chevilles, et toute raide comme une poupée, je la fais tourner longtemps, longtemps; si je la lâche, son corps entraîné par la force centrifuge ira s’écraser contre les parois du mur.

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