mardi, décembre 02, 2014

Boris Cyrulnik- Les âmes blessées

Au magazine de la Santé Boris Cyrulnik, psychiatre" 68 a libéré les femmes mais aussi à donné la parole aux psychiatres, on ne parlait plus de fous, mais de malades mentaux, et la cruauté des soins comme à Saint Anne, a cessé" (genre charcutage sur le cerveau, électrochocs pratiqués en dortoirs devant trente malades apeurés, ça, je l'ai vécu en 1952, quand j'étais danseuse au Mogador et harcelée par César, un musicien vieux garçon qui n'a pas été inquiété, il faut dire que je ne l'avais pas dénoncé par compassion, pour ce faux oncle gâteau, et par crainte que mes parents ne me retirent du théâtre.

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